mardi 24 septembre 2013

Côte d’Ivoire: Les crimes de la rébellion (Devoir de mémoire)


19 septembre 2002, 19 septembre 2013, il y 11 ans que Guillaume Soro et ses hommes plongeaient la Côte d’Ivoire dans le chaos. Dans ce document plusieurs fois publié par les médias ivoiriens, Padjofê Ibrahim, l’un des piliers de cette rébellion qui a endeuillé la Côte d’Ivoire pendant plus de 10 ans, fait le grand déballage sur les origines et les commanditaires du drame ivoirien. Un témoignage qui rabat définitivement le caquet, à tous ceux qui, comme Kobenan Kouassi Adjoumani, accusent Laurent Gbagbo d’être l’auteur des crimes en Côte d’Ivoire.

Des accusations graves, des révélations à couper le souffle, des noms cités, des médias français....

 Fraternité Matin – 3/9/2003 7:47:38 PM –
 Padjofê Ibrahim, ex-Fanci :”J’aime mon pays et j’ai décidé de ne plus le tuer”
“En réalité, aucun pays n’aime la Côte d’Ivoire, tous ses voisins sont contre elle et principalement le Burkina qui lui a déclaré la guerre. Des fils indignes comme moi ont pris les armes pour détruire la Côte d’Ivoire, la mère patrie, mais je sais que je me suis lourdement égaré, trompé et je veux faire marche arrière. Pourra-t-on me pardonner un jour ? ”
Monsieur Honorat Dé Yedagne Je voudrais vous demander de faire en sorte que cette lettre soit publiée dans son entièreté. J’ai beaucoup hésité avant de l’envoyer à votre journal car, il n’a pas de position tranchée et donc si ma lettre y est publiée, on lui accordera toute la Valeur qu’il lui faut plutôt que d’être considérée comme suscitée si elle était publiée par le National ou Notre Voie. Cette lettre ne vaut sans doute rien, venant de la part d’un assassin comme moi, mais, j’aime mon pays comme vous et j’ai décidé de ne plus le tuer.
Publiez ma lettre s’il Vous plait !
Je m’appelle Padjofê Ibrahim.
Je suis de l’ethnie Dioula et je suis un déserteur de l’armée ivoirienne. Si je donne mon vrai nom, c’est parce que je n’ai plus personne à protéger car, mes parents (mon père, mes deux soeurs et mon frère étudiant en licence d’anglais à l’Université de Bouaké) ont été exécutés dans la nuit du 8 au 9 février dernier. Je suis donc un rebelle fugitif qui a décidé de ne plus participer à la destruction de mon pays. J’ai été au coeur de la rébellion, j’ai participé à toutes les étapes de la préparation de l’attaque jusqu’à son exécution. Je sais que les choses que je vais dire aujourd’hui paraîtront aux yeux de certaines personnes comme une plaisanterie de mauvais goût, mais je jure sur les cadavres de mes parents que ce qui va suivre est la stricte vérité et même si cela arrive bien en retard, il n’empêche qu’il peut permettre de comprendre beaucoup de choses et de prévenir bien d’autres dangers qui guettent le contrôle gouvernemental pour réaliser à quel point les Ivoiriens, avec les autorités à leur tête, ignorent les véritables dangers qui planent sur le pays.
Je voudrais préciser avant toute chose, qu’aucun des pays qui entourent la Côte d’Ivoire n’aime la Côte d’Ivoire. Ils ont tous participé d’une façon ou d’une autre à la destruction du pays. J’y reviendrai. Cela dit, je voudrais demander pardon aux Ivoiriens et à toutes les victimes innocentes de cette guerre atroce que nous avons provoquée dans notre propre pays. J’ai fait du mal, beaucoup de mal en succombant à un certain discours, en pensant d’après ce qu’on nous avait dit, que le Président Gbagbo était venu au pouvoir pour organiser le génocide des gens du Nord et qu’il fallait tout mettre en oeuvre pour l’arrêter. Voilà pourquoi, la plupart de ceux qui ont pris les armes sont des gens du Nord et qu’à la fin de cette guerre, on découvrira que 60% des jeunes du Nord sont morts, tant les FANCI les massacrent sur les fronts de guerre. Quelqu’un a dit que” le jour où ceux qui financent les guerres se retrouveront sur les fronts, il n’y aura plus de guerre dans le monde “. Je me demande si ce monsieur se rendait compte de la véracité de ce qu’il disait.
Je voudrais dire ici qu’aucun des chefs de la rébellion qui endeuille le pays n’a jamais mis les pieds sur un front de guerre, ni conduit une troupe au cours d’un combat. Le seul qui a eu le courage de participer à un combat à la tête d’une unité de 227 personnes (tous des gamins de 12 à 15 ans) a été abattu par les FANCI le jeudi 17 octobre 2002 à M’Bahiakro et son unité a été totalement anéantie. Il s’agit de Inza Karamoko. Après cette guerre, le monde entier constatera le désastre.
Cela dit, je voudrais situer les choses que je vais dire à 11 niveaux :

1. La préparation de l’attaque.

2. Le recrutement.

3. Les raisons de l’attaque.

4. Les personnalités qu’il fallait tuer.

5. La mort de Balla Kéita

6. Les commanditaires du coup.

7. Les complicités internes et externes.

8. L’élimination systématique des gendarmes.

9. Le but assigné au MPIGO et au MJP

10. La mission de l’escadron de la mort et des médias étrangers.

11. Le rôle de la France et des multinationales françaises.

Beaucoup de choses ont été dites sur l’attaque du 19 septembre 2002. Certaines de ces choses sont vraies, et d’autres sont très loin de la vérité. Il a fallu que je sois au Burkina Faso du mardi 16 janvier 2001 au lundi 16 septembre 2002 pour comprendre à quel point la Côte d’Ivoire était haïe par les pays qui l’entourent. J’y reviendrai dans le point 7.

1.- La préparation de l’attaque
A mon arrivée à Somgandé au Burkina le 16 janvier 2001, le noyau qui devrait diriger les opérations était déjà constitué; il s’agissait de Tuo Fozié, Massemba Koné, Omar Diarrassouba, Iréné Kablan et Souleymane Diomandé. Il s’agit là de la phase 1.

2.- La deuxième phase a consisté à recruter
C’est IB qui a été chargé de cette tâche, aidé par trois officiers burkinabè qui agissaient pour le compte de leur pays. Le recrutement a été fait dans trois pays: le Liberia, la Sierra Leone et le Burkina Faso. Ainsi, au total, ce sont 417 personnes qui ont été recrutées en deux mois, dont 288 Burkinabè (125) soldats de l’armée burkinabé et 163 repris de justice libérés des prisons et conduits au camp de formation de PÔ. Quant aux Ivoiriens qui ont participé à l’attaque, il a suffi de leur expliquer ce qui suit:

3.- Les raisons de l’attaque
Il Y a trois raisons essentielles à l’attaque du 19 septembre.
- Il fallait sauver les peuples du Nord et principalement les Dioula, du génocide que préparait le Président Gbagbo.
- Pour convaincre chacun de cette idée, une photo couleur agrandie était accrochée dans toutes les chambres des villas de Somgandé et une autre (petite) était dans les poches de toutes les recrues, de sorte que chacun se disait qu’il avait une mission noble à accomplir en faisant la guerre en Côte d’Ivoire. Il s’agissait de sauver tout un peuple menacé d’extermination totale par un régime supposé génocidaire.
- Il fallait ensuite permettre aux Burkinabè résidant en Côte d’Ivoire d’avoir les mêmes droits que les Ivoiriens et de participer à toutes les prises de décisions concernant l’avenir du pays. Pour convaincre les Burkinabè de ce que les Ivoiriens partisans du régime étaient en train de massacrer leurs compatriotes, le journal Sidwaya a utilisé les mêmes photos du charnier de Yopougon qu’il a présenté comme étant constitué de ressortissants burkinabè. Cela a provoqué une grande colère et a facilité le recrutement des Burkinabè avec l’accord des autorités burkinabè. Pour que ce qui précède puisse se réaliser, il fallait éliminer systématiquement un certain nombre de personnalités politiques et militaires et permettre ainsi, par la chute du gouvernement, l’installation d’un nordiste à la tête de l’Etat et en l’occurrence M. Alassane Ouattara, après 6 mois de transition au cours de laquelle, par l’usage de la terreur, toutes les personnes gênantes devraient être soit exécutées soit forcées à l’exil.

4.- Les personnalités politiques et militaires qu’il fallait tuer
Je reviendrai de façon détaillée sur un certain nombre de choses dans le point 6, mais il faut dire que si le coup d’Etat avait réussi, il n’y aurait aujourd’hui d’hommes politiques en Côte d’Ivoire que ceux venant du RDR tant la liste des personnes qu’il fallait exécuter était longue. Je ne pourrai donc pas donner la composition de cette liste de façon exhaustive mais voici quelques-uns des noms.
1. Emile Boga Doudou (à la demande de Blaise Compaoré).
2. Doué Mathias
3. Touvoli-Bi
4. Lida Kouassi
5. Henri Konan Bédié
6. Emile Constant Bombet (l’ancien ministre)
7. Blé Goudé Charles
8. Tapé Koulou (à la demande de Shérif Ousmane).
9. Mamadou Coulybali
10. Guéi Robert (à la demande de Alassane Ouattara).
C’est ce dernier nom, celui du général, ajouté à la demande de Alassane Ouattara qui a changé tout et donc a précipité les choses car, on ne sait trop comment cela s’est passé mais quelqu’un a filé l’information à M. Balla Kéita qui suivait le déroulement des préparatifs pour le compte du général.

5.- La mort de Balla Kéita
M. Balla Kéita a été envoyé au Burkina Faso par le général Guéi pour suivre l’évolution des préparatifs pour son compte. A son arrivée au Burkina, M. Balla devrait avoir ses appartements à Somgandé, mais pour éviter les soupçons, Blaise Compaoré a décidé de le loger personnellement. Cette démarche n’a pas beaucoup plu au Général qui soupçonnait un mauvais coup de la part d’Alassane, mais on a su le convaincre. En réalité, si on avait éloigné Balla Kéita, c’était pour qu’il ne soit pas au courant de certains détails, tels que la composition de la liste. Ainsi, lorsqu’il s’est agi de dresser la liste, le Général n’a eu son mot à dire que sur le sort du Président Gbagbo, car l’informateur qui se trouvait à la Présidence avait prévenu que le Président devait s’absenter dans le courant de la 3e semaine du mois de septembre 2002.
Le Général a donc conseillé que le coup se fasse en son absence car, cela permettrait d’épargner sa vie et donc d’éviter un certain nombre de difficultés inutiles. Mais le Général ne savait pas qu’il était lui-même sur la liste; normal, car le coup devait être fait pour lui, du moins d’après ce que M. Ouattara lui avait promis. Ainsi, le Général en qualifiant le Président de boulanger, ignorait que le vrai boulanger était celui à qui il téléphonait 3 fois par jour. Lorsque Balla Kéita, on ne sait par quel moyen, avait appris que le nom de son patron était sur la liste des personnes qu’il fallait exécuter, au lieu d’informer directement le Général, il a cru bon d’en parler d’abord à Blaise Compaoré. Dès cet instant, il avait signé son arrêt de mort et effectivement, on le retrouvera mort le lendemain. Nous étions alors fin juillet – début août.
La difficulté a été dès lors de convaincre le Général que la mort de son agent n’avait rien à avoir avec un mauvais coup que l’on préparerait dans son dos. Une tâche que les autorités burkinabè avec le ministre de la Défense vont réussir à merveille, en retournant les soupçons sur le gouvernement FPI au pouvoir à Abidjan et pour parachever la machination, Fabien Coulibaly qui, à la demande du Général, s’était rendu au Burkina, avait été chargé d’assassiner le Général, mais on ne sait pour quelles raisons, il n’a jamais exécuté son contrat et donc jusqu’à ce qu’on déclenche l’attaque, on ne savait pas si Fabien Coulibaly et le Général avaient un autre plan et dans le doute, pour éviter les problèmes, son nom avait été ajouté sur la liste, de même que celui de tous ceux qui se trouvaient dans l’environnement immédiat du Général.
Ceci explique ce qui s’est passé ou plus précisément, devrait expliquer ce qui s’est passé car on saura plus tard que Fabien Coulibaly avait vendu la mèche et que le Général avait concocté son propre plan, mais malheureusement pour lui, certains éléments de la gendarmerie qui étaient dans le coup et dont le Général avait les noms, avaient réussi à s’infiltrer dans les patrouilles des gendarmes loyaux et donc pour éviter que le Général ne se venge d’eux s’il prenait le pouvoir, ont réussi à créer la confusion, de sorte que même au jour d’aujourd’hui, vu la façon dont les choses se sont passées, au plus haut niveau de la rébellion, tout le monde a la trouille quand il s’agit de savoir si ceux qui ont tué le Général sont tous morts ou vivants et prisonniers ; mais on les préfère plutôt morts que vivants : suivez mon regard.

6.- Les commanditaires du coup Il y a essentiellement trois commanditaires.
- M. Alassane Dramane Ouattara
- Guéi Robert
- Blaise Compaoré.
Alassane Ouattara a offert tous les moyens de communication dont dispose le MPCI. Il a également corrompu tous les correspondants – Afrique de tous les médias français à qui une mission précise a été confiée. J’y reviendrai dans le point 10. C’est M. Alassane qui s’est chargé de la rémunération de tous les chefs rebelles de Tuo Fozié à Dacoury-Tabley en passant par Soro Guillaume. Même au niveau de la rébellion, on ignore où Alassane Ouattara a tiré tout l’argent qu’il a investi dans cette guerre et c’est sans doute ce qui constitue le plus grand danger pour la Côte d’Ivoire. Le rôle de Guéi a consisté à créer au sein de l’armée, un environnement de suspicion propice à un soulèvement général de l’armée. Mais il a échoué dans sa tâche car en dehors des Bayefouè et des Zinzins et de quelques officiers dont Gueu Michel, pas grand monde n’a mordu à son hameçon et c’est l’une des raisons qui explique l’échec de la prise d’Abidjan.
Blaise Compaoré est ce qu’il convient d’appeler le plus grand danger pour la Côte d’Ivoire. Ce Monsieur a juré que tant que Alassane ne sera pas à la tête de la Côte d’Ivoire, ce pays ne connaîtra jamais la paix. Blaise Compaoré a fourni à lui seul et cela grâce à ses propres réseaux de trafic d’armes dont les sièges se trouvent en Libye et au Liberia, toutes les armes dont dispose actuellement le MPCI. C’est lui qui a fourni tous les instructeurs, c’est également lui qui a fourni 125 soldats burkinabè dont 38 officiers qui sont répartis comme suit: 13 à Korhogo, 15 à Bouaké et 10 à Odienné. Ce sont eux qui forment actuellement sur le terrain, toutes les recrues. Blaise Compaoré a investi au bas mot, plus de 4 milliards dans cette guerre, de l’argent qu’il compte récupérer une fois que les Burkinabè résidant en Côte d’Ivoire et Alassane seront parvenus au pouvoir.

7.- Les complicités internes et externes
Tous les dirigeants du RDR, des plus modérés aux plus durs, savaient plus ou moins que leur mentor préparait un coup fumant. Certains comme Ali Coulibaly, Gon Coulibaly, Ali Kéita, ont parcouru nuitamment pendant des semaines les villes du Nord avec des photos du charnier de Yopougon. Je dois avouer qu’ils ont fait un travail remarquable, car aujourd’hui, pour convaincre un jeune du Nord de tuer un gendarme et de boire son sang, il suffit de lui montrer une de ces photos et de lui dire que c’est le sort que Gbagbo et ses gendarmes lui réservent s’il ne réagit pas.
Alassane lui-même leur avait expliqué cela pendant sa tournée d’avant les élections des conseils généraux. Au niveau interne, il faut souligner que même dans l’entourage du Chef de l’Etat, certaines personnes étaient au courant du coup. Aujourd’hui, un travail a été fait pour éloigner ces traitres qui mangeaient avec le Président et qui savaient pourtant qu’on allait le tuer. Au niveau interne toujours, il faut dire que dans toutes les villes occupées et non occupées, se trouve quelqu’un qui est chargé d’organiser avec l’aide de quelques personnes, la chute de la ville et à dresser la liste des personnes qu’il fallait systématiquement exécuter à notre arrivée. Ainsi par exemple à Bouaké, le maire a joué ce rôle, à Béoumi, le chef de canton a aidé à la prise de la ville. La liste complète de tous ces gens qui tapis dans l’ombre aident les rebelles est actuellement au domicile du préfet de Bouaké qui est la maison de Soro Guillaume.
La plupart des gens qui sont sur cette liste sont des Burkinabè qui connaissent très bien les villes dans lesquelles ils vivent. Ainsi à Agboville, il y a un certain Ouédraogo Binaté, à Divo, un certain Sampoudou Dramane, à Tiassalé, un certain Savadogo Ladji dit ” Sabari Kagni “, ce dernier est actuellement à Bouaké et joue un grand rôle dans le rapatriement des corps des gendarmes exécutés au Burkina Faso par le biais de gros camions qui semblent lui appartenir. J’y reviendrai dans le point 8. A Daloa, Kafando Compaoré (tué par les loyalistes pendant la libération de la ville, à Sakassou, Boureïma Sylla, à Bouna, IIboudo Assimi (c’est lui qui a exigé et obtenu l’exécution du commandant de brigade de Bouna devant sa femme et ses enfants).
Il y a donc actuellement, dans presque toutes les villes de Côte d’Ivoire, des gens dont le rôle est de préparer l’arrivée des rebelles en donnant journellement des informations précises sur les mouvements des gendarmes. (7: à suivre).

8.- L’élimination systématique des gendarmes
Si tout le monde a constaté que la Gendarmerie a payé le plus lourd tribut à cette guerre, eh bien ! c’est parce que cela fait partie d’un plan bien précis. MM. Ouattara et Blaise Compaoré ont une grande colère contre la Gendarmerie de Côte d’Ivoire et pour cause, ils considèrent que les gendarmes sont la cause de tous les malheurs des militants du RDR et des Burkinabè et par conséquent, il fallait les éliminer jusqu’au dernier, du moins, ceux qui ne sont pas avec eux, c’est-à- dire la quasi totalité car au jour d’aujourd’hui, il y a exactement 113 militaires et gendarmes qui sont avec la rébellion en dehors des Bayéfoué et des Zinzins. La consigne qui a donc été donnée était de tuer systématiquement tous les ” corps habillés ” des villes prises et principalement les gendarmes, mais comme il était impossible de cacher les corps d’autant de personnes, avec l’accord des autorités, plutôt sur proposition de ces autorités, les cadavres de la plupart des corps habillés ont été convoyés au Burkina dans des camions et même les corps de beaucoup de civils tués, environ 2000 personnes, se trouvent au Burkina; ce qui advient de ces corps une fois au Burkina, seuls Alassane, Blaise Compaoré et Soro le savent. C’est un moyen efficace d’éviter les charniers.
Quant aux gendarmes qui ont réussi à fuir pour se retrouver au Burkina, s’ils n’ont pas été abattus à la frontière, ils sont dans une prison quelque part au Burkina. Je sais par exemple qu’il y a environ 47 gendarmes ivoiriens qui se trouvent actuellement dans les prisons de Blaise Compaoré.

9.- Le but assigné au MPIGO et au MJP
A la date du 23 octobre, tout le monde était unanime pour reconnaître que le coup avait capoté et que ou bien on fuyait tous le pays ou bien on restait et alors, il fallait poser des actes de nature à ébranler le pouvoir et à obtenir par les massacres et la terreur, ce que nous n’avions pas été capables d’obtenir par l’attaque du 19 septembre. Il fallait d’un côté chercher à gagner du temps en bluffant, le temps que les commanditaires trouvent des soutiens et apportent la logistique nécessaire pour mener une guerre sur un long terme car nous n’étions absolument pas préparés pour cela. Il n’a pas été facile de trouver des soutiens et je dois avouer qu’il y a eu un moment de flottement au cours duquel si les FANCI avaient tenté leur chance, elles auraient fait de nous une bouchée mais il y avait une telle crise de confiance au sein de l’armée que personne n’osait tourner le dos à son voisin. Le premier soutien trouvé fut le Liberia de Charles Taylor qui devrait ouvrir un front à partir de l’Ouest, mais ce dernier a posé tellement de conditions que les choses ont traîné.
Finalement, Alassane et Compaoré ont dû lui vendre tout l’Ouest y compris ses habitants pour que Charles Taylor se décide. C’est ainsi que le MPIGO et le MJP ont été créées à partir du MPCI avec pour mission farfelue de venger le général Guéi. Le 2ème soutien a été le Sénégal à qui il a été confié la mission de faire accepter la rébellion à une table de négociation. Le 3ème soutien a été le Gabon dont le Président a été chargé de convaincre les autorités françaises que Gbagbo n’a que ce qu’il mérite et que tout le monde l’avait prévenu qu’il ne ferait pas de vieux os au pouvoir et qu’il fallait aider les rebelles à régler une fois pour toutes, tous les problèmes créés par Gbagbo depuis son arrivée au pouvoir. Le 4ème soutien a été celui des multinationales françaises installées en Côte d’Ivoire, soutien obtenu par MM. Ouattara et l’Ambassadeur Renaud Vignal qui ont quasiment vendu le pays.
Au jour d’aujourd’hui, la Côte d’Ivoire n’appartient aux Ivoiriens que parce que Gbagbo est encore au pouvoir, sinon Alassane Ouattara a vendu le pays au Burkina Faso et aux sociétés françaises.

10.- L’escadron de la mort
Effectivement, il Y a un escadron de la mort en Côte d’Ivoire. Cet escadron a été créé pour une mission précise. L’escadron de la mort a été créé le vendredi 20 avril 2001 à Abobo par des responsables du RDR qui voulaient laver l’image de M. Alassane Ouattara en éliminant toutes les personnes qui s’attaqueraient ou dénonceraient son imposture. La 2ème mission de l’escadron était d’éliminer tous les gendarmes qui avaient été jugés dans le procès du charnier de Yopougon. Il est inutile de préciser que M. Ouattara avait donné toute sa caution. A l’origine, l’escadron était constitué de 7 personnes (3 membres de la garde rapprochée de M. Ouattara, 2 Burkinabé (des anciens gendarmes), un chauffeur plus le chef du groupe était (jusqu’au 17 2001) Shérif Ousmane.
Après cette date, compte tenu de l’opération actuelle qui était en préparation au Burkina, l’escadron de la mort avait été dissous mais en dehors de Shérif, les autres sont restés en Côte d’Ivoire et ont travaillé dans la sécurité de M. Ouattara et depuis le 18 octobre 2002, l’escadron de la mort a été reconstitué avec les mêmes éléments mais le chef est désormais un Burkinabé et ses missions sont : salir le gouvernement et provoquer une guerre musulmans-chrétiens. En dehors de Benoît Dacoury- Tabley dont la mort a été une erreur, les autres sont bien sur la liste et ceux qui restent sont les suivants:
Maurice Guikahué
K.K Bertin (Jeunesse PDCI)
Blé Goudé (rayé-contradiction).
Tapé Koulou (rayé-contraction)
Thierry Legré (rayé-contraction)
Trois Imams (non déterminés)
Trois évêques (rayés-contradiction)
Le maire d’Adjamé (à sacrifier pour la cause).
Le directeur de l’AFP Abidjan.
P.S. Les personnes doivent être exécutées selon l’actualité

11.- Le rôle des médias
Tous les médias étrangers qui couvrent la guerre en Côte d’Ivoire ont été achetés. Ainsi, dès le 15 septembre 2002, tous les médias français ou presque étaient déjà à Bouaké. Le rôle à eux assigné est de faire en sorte que les agresseurs passent pour les victimes auxquelles les armes se sont imposées, d’où les déclarations de Soro du genre: ” les armes se sont imposées à nous “. Les Médias français se sont tus sur les massacres commis en zone occupée et je dois avouer que beaucoup de massacres ont été commis sous les yeux des journalistes français. Comme je l’ai dit plus haut, environ 2000 personnes ont été massacrées mais les journaux français n’en ont jamais parlé, normal, ils font leur travail, il faut avoir été bien payé pour fermer les yeux sur l’exécution de 70 gendarmes après l’entrée et la sortie des FANCI dans Bouaké. Il faut avoir été bien payé pour fermer les yeux sur le viol public de 37 filles baoulé dont le sang a été par la suite distribué aux dozos après les avoir égorgées. Il faut avoir été bien payé pour être capable de fermer les yeux sur le fait que toutes les filles qui se trouvent dans les zones sous contrôle rebelles sont violées journellement depuis. En fait, le rôle de la presse française en Côte d’Ivoire est de faire en sorte que Gbagbo se retrouve devant le TPI ou la CPI.

* * Le rôle de la France mère
Tout ce que je peux dire, c’est que la France est coupable mais elle est prise dans l’étau entre les menaces de dénonciation de la rébellion et la réaction du peuple ivoirien et des Français de Côte d’Ivoire. En réalité, aucun pays n’aime la Côte d’Ivoire, tous les voisins de la Côte d’Ivoire sont contre elle et principalement le Burkina qui a déclaré la guerre à la Côte d’Ivoire. Des indignes fils comme moi ont pris les armes pour détruire la Côte d’Ivoire, la mère patrie, mais je sais que je me suis lourdement égaré, trompé et je veux faire marche arrière. Pourra-t-on me pardonner un jour?

Une contribution de Padjofê Ibrahim (ancien rebelle)
In Frat-Mat du 03/09/2003

mercredi 18 septembre 2013

Côte d’Ivoire: la destinée de Laurent Gbagbo

Côte d’Ivoire : La Destinée de Laurent Gbagbo

J’ai interrogé le Seigneur Dieu au sujet de la souffrance  du peuple de la Côte d’Ivoire et aussi au sujet de la souffrance de Laurent Gbagbo.
Le seigneur me dit : interroge  Alpha et Omega.
J’ai interrogé Alpha et Omega
Et  Alpha et Omega m’ont dit : interroge la Gématrie de l’Alpha et de l’Omega
J’ai interrogé la Gématrie de l’Alpha et de l’Omega et voici leur réponse :

Alpha me dit : la destinée de Laurent Gbagbo est égale au chiffre 228
et  la Destinée de Côte d’Ivoire est égale aussi au chiffre 228.  Ici, c’est la règle de 1.

Omega me dit aussi : la destinée de Laurent Gbagbo est égale au chiffre 2052
et  la Destinée de Côte d’Ivoire est égale aussi au chiffre 2052.  Ici, c’est la règle du 9.

Les deux ont dit la même chose. Je me suis alors adressé à nouveau au seigneur et je lui ai dit : seigneur, je ne comprends pas cette relation de chiffre identique entre
la destinée de Gbagbo Laurent et la destinée  de Côte d’Ivoire ?

Le seigneur m’a dit ceci : la destinée de Laurent Gbagbo et la destinée de Côte d’ivoire est la même. C’est pourquoi, les deux destinées donnent les chiffres identiques. Si Gbagbo Laurent souffre,  la Côte d’Ivoire souffre aussi, et si la Côte d’Ivoire souffre, Gbagbo Laurent souffre aussi. Et si Gbagbo Laurent est libre, la Côte d’Ivoire est libre aussi.
En enfermant Gbagbo Laurent à la CPI, ils ont enfermé de fait la Côte d’Ivoire sans le savoir et sans le vouloir. Mais qu’est ce qui se passe quand on enferme une énergie dans
un endroit clos où elle ne peut sortir et circuler ? Elle va se concentrer puis exploser très violement comme du gaz dans une maison. A cet effet, des énergies concentrées sont sur le point d’ exploser violement sur le territoire ivoirien.
J’ai dit au seigneur : mais, les parents de Laurent Gbagbo, en donnant ce nom à leur fils, savaient-ils ce que cela impliquerait ?
Le seigneur me dit : non. Et il ajoute : je contrôle la pensée des humains, rien ne peut être dit et fait sans mon approbation. L’homme, avant d’ouvrir sa bouche pour prononcer un mot, a d’abord mon autorisation. Et toutes les paroles prononcées par un humain, viennent de moi, car je suis le verbe créateur. Il y a des noms prédestinés et il y a des personnes prédestinées.
Parce qu’en ce moment même, en Afrique et principalement en Côte d’Ivoire, un dieu est descendu de son trône céleste et s’est incarné pour prendre la relève de Laurent Gbagbo pour terminer le combat de votre libération. Ce Dieu incarné a reçu un nouveau baptême et sa feuille de mission. Celui-ci est un vrai Dieu, pas un humain. Personne ne peut lever la main sur
lui et personne ne peut l’affronter, car il tient sur sa langue des braises ardentes et commande une armée céleste de 144 milles légions d’anges. Il est  déjà parmi vous.

Fait le Lundi, 16 Septembre 2013

Daniel MEHI
Le dernier Prophète

vendredi 13 septembre 2013

Ces francs-maçons qui gouvernent l'Afrique


18/04/2013 à 08h:34
Le temple Arthur-Groussier, du Grand Orient de France, est situé rue Cadet, à Paris.  
 
Le temple Arthur-Groussier, du Grand Orient de France, est situé rue Cadet, à Paris. © SIPA
Invité à une « tenue blanche fermée » qui a tourné à une attaque contre Nicolas Sarkozy sur fond de Côte d'Ivoire, notre confrère de RFI a recueilli les paroles de « frères » qui haussent le ton.
Les organisateurs auraient voulu choisir la date la plus opportune pour leur « tenue blanche fermée » (TBF) qu'ils ne s'y seraient pas pris autrement. Quand en grande pompe le 18 janvier dernier, rue Cadet à Paris, le Grand Orient de France accueillait cette conférence-débat consacrée à « la Françafrique », l'intervention militaire française au Mali n'en était qu'à sa première semaine. Les derniers lampions de la Saint-Sylvestre à peine éteints, la France débutait l'année en guerre, et l'Afrique occupait comme jamais le devant de la scène politico-médiatique. Programmée plus de un mois auparavant, cette réunion d'ampleur ne pouvait mieux - ou plus mal - tomber pour la principale obédience maçonnique française. Cela pouvait casser, mais c'est passé.
Sur le carton d'invitation, les « frères trois points » avaient sorti le code des grands soirs. « À l'occasion du 22e anniversaire de l'allumage de ses feux, la R...L... "Pourquoi pas ?" (et cinq autres loges invitantes : Ulysse, les enfants d'Éole, Hélios, le Temple de l'homme 777, République, Freedom of Conscience et Via Universalis) [...] ont le plaisir de vous convier [...] en présence du T...Ill...F... Franco CAP... Premier G...M...A... du G...O...D...F... » Triangles de points comme s'il en pleuvait, parcours fléché pour initiés et, en bas de page, une adresse internet réservée aux inscriptions préalables, indispensables.
Enfilade d'épées et de flambeaux
Car, pour accueillant qu'il soit, le temple Arthur-Groussier n'est pas un moulin. Lors d'une TBF, n'y entre pas qui veut. Les maçons avaient sorti la tenue des grands soirs pour accueillir les conférenciers, l'écrivain et journaliste Pierre Péan et l'auteur de ces lignes, venu dire à ses hôtes qu'en intervenant comme elle l'avait fait en Côte d'Ivoire la Françafrique avait tout de même poussé le bouchon trop loin.
Pour le conférencier qui franchit la double porte de l'illustre cénacle, une TBF s'ouvre d'abord sur une enfilade d'épées et de flambeaux brandis par deux haies de personnages en tenue d'apparat, encadrant une allée en damiers menant à l'estrade nichée dans l'alcôve terminale, où un « président » en gants blancs, entouré de vénérables maîtres et de greffiers, sous un buste de Marianne, attend de présenter ses invités à la silencieuse assistance. Ce qui s'est dit ce soir-là sous les symboles émaillant la voûte du temple Arthur-Groussier ne saurait être relaté.
Sensible
Le débat ayant suivi nos interventions a toutefois suscité depuis tant de commentaires et de réactions chez les maçons férus d'Afrique que - chose singulière - plusieurs participants africains ont décidé, ici, de jeter bas le masque et haut le verbe pour évoquer cette TBF. À commencer par Michel Langa. D'origine centrafricaine, cet avocat de 49 ans n'était autre que le « président » de la TBF. Les gants blancs, c'était lui. Vénérable de la loge Pourquoi pas ?, il dirige cette association dépendant du Grand Orient de France et dont les membres sont essentiellement africains. Dans les années 1990, Pourquoi pas ? était une commission Afrique du GOF, avant d'être transformée en loge à vocation humanitaire. Une conférence-débat sur la Françafrique ? « C'était très, très sensible, dit-il. Le 17 décembre 2012, après la visite préparatoire du temple avec Pierre Péan et vous-même, je suis retourné à mon cabinet dans le 18e arrondissement de Paris. J'ai trouvé la porte fracturée, j'ai déposé plainte pour tentative d'effraction. »
Simple coïncidence ou vraie pression ? Le frère Michel a comme un doute. Car, complète-t-il, « le site internet créé uniquement pour les inscriptions à cette TBF a été piraté, alors qu'il était sécurisé ». Pas de quoi, en tout cas, intimider maître Langa, qui a déjà oublié les 1 600 euros facturés par son serrurier pour la réparation de sa porte. Car « il y avait plus de 300 inscrits, pour une capacité de 270 participants. L'Afrique centrale était bien représentée. Des frères venus d'Autriche, de Belgique et d'Allemagne étaient également présents », lance-t-il, un éclair de fierté au fond des yeux.
Célestin Bamboute ne dit pas autre chose. Franc-maçon au GOF depuis une quinzaine d'années, cet inspecteur des finances publiques, d'origine centrafricaine lui aussi, a été la cheville ouvrière de la TBF. « Nous avons cherché à identifier toutes les personnes qui venaient, explique-t-il. Je craignais les provocations, les débordements. » Mais si la Françafrique sent le souffre, la réunion du 18 janvier aura déjoué les craintes de frère Célestin.
Car c'est surtout de Côte d'Ivoire qu'il a été question ce soir-là. « Des hommes d'affaires vivant à Abidjan ont assisté à la TBF », s'enorgueillit Luc Gohou. Ancien responsable en Île-de-France du Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l'ex-président Laurent Gbagbo, ce cadre du tourisme, maçon au GOF depuis un quart de siècle, tient aujourd'hui à lancer un « appel aux francs-maçons ». Il souhaite qu'ils organisent ce genre de réunions pour qu'à l'avenir « on arrive à trouver des solutions pacifiques dans nos différents pays, puisque ce soir-là pratiquement toute l'Afrique était représentée ». Bienveillantes paroles publiques, nécessairement plus « diplomatiques » que d'autres, entendues ce même soir de janvier. Lors d'une TBF, on met les pieds dans le plat.
"Ma porte a été fracturée, et notre site piraté"
Quand il s'est levé pour prendre la parole, ce franc-maçon français initié il y a trente-cinq ans en terre ivoirienne, ancien professeur à l'université d'Abidjan, n'a pas eu de mots assez durs à l'endroit des amis de vingt ans que sont Nicolas Sarkozy et Alassane Ouattara. Aujourd'hui encore, il persiste et signe. « J'ai été témoin de faits allant dans le sens qui me semblait se dégager durant cette TBF, dit-il, c'est-à-dire l'évidence que les élections ont été truquées, que la France est intervenue en amont du processus, et qu'il y avait un parti pris très net depuis le début. » À l'inverse de ses frères africains, il préfère conserver l'anonymat. Pour mieux libérer sa parole. « Ayant été choqué par l'intervention directe et brutale de la France, qui a abouti à la prise de Gbagbo, j'ai tenu à témoigner », s'indigne-t-il en fustigeant les « agissements » de l'ancien président Sarkozy et en évoquant les « mallettes de la République » chères à Pierre Péan. « N'importe quel maçon est très attaché à la question des droits de l'homme, modère Célestin Bamboute. En tant que franc-maçon, je dis qu'on souhaiterait que la sérénité puisse l'emporter » en Côte d'Ivoire.
Mais si les oreilles de Nicolas Sarkozy ont dû siffler ce soir-là, celles de François Hollande ne sont pas tout à fait en reste au GOF aujourd'hui. Certes, sous les voûtes de la rue Cadet, l'intervention militaire française au Mali a été saluée et même qualifiée de « contraire de la Françafrique ». Mais cet autre franc-maçon qui sillonne l'Afrique depuis 1977 estime à présent qu'on ne peut que « déplorer la cécité du nouveau pouvoir socialiste français face aux exactions permanentes du régime d'Abidjan, dénoncées maintenant par Amnesty International ». Une inaction guère moins condamnable à ses yeux que l'action passée de la France en Côte d'Ivoire. Ainsi va l'Afrique. Qu'elle sorte les missiles ou qu'elle reste coite, la France est à l'index, et le village africain, lui, « fait palabre ». La France, ou plutôt, souligne Pierre Péan, le « faux nez » de la Françafrique.
Le 18 mai, le Groupe fraternel d'étude des questions africaines (GFEQA) organise une conférence-débat sur l'Afrique réservée aux francs-maçons. Elle se tiendra à la Grande Loge de France, 9, rue Puteaux, 75017 Paris. Elle sera animée par Norbert Navarro.
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Par Norbert Navarro   in jeuneafrique.com

mercredi 11 septembre 2013

IVOIRIENS, JUBILEZ! LAURENT GBAGBO REVIENT



PROPHETIE DU REVEREND PASTEUR ELIE YAMBA


Je suis homme de Dieu Burkinabé. J’ai longtemps œuvré en Côte d’Ivoire surtout dans les villes comme Daloa, Bouaflé, Sinfra, Abidjan (Marcory), Gagnoa puis Dabou entre 1980 et 2000. Je suis entré au Burkina an 2000. J’aime la Côte d’Ivoire et je lui suis reconnaissant surtout pour l’hospitalité de son peuple.

En tant qu’homme de Dieu, je dis ces choses sans hypocrisie. J’aime cette terre hospitalière et bénie de Dieu. Quand on dit que la Côte d’Ivoire est bénie de Dieu, ce ne sont pas des paroles en l’air. Oui, je suis convaincu que cette terre est bénie de Dieu. C’est la raison pour laquelle mon âme a été meurtrie quand en 2002, ce pays a été attaqué par une rébellion. Et depuis ce temps là, j’ai fléchi mes genoux pour prier et pour comprendre comment ce pays a pu être attaqué par une rébellion. J’ai Prié l’Eternel afin que la Côte d’Ivoire soit épargnée par ces troubles qui risquent d’avoir des impacts graves sur tous ces enfants de Dieu qui y sont pour se faire une place au soleil. Et l’Eternel m’a révélé que la crise qui a commencé en 2002 est le début de plusieurs années de purification pour la Côte d’ Ivoire qui doit mériter sa place dans le concert des nations. Ce ne sont pas des paroles vaines. La Côte d’Ivoire est une étoile brillante. L’Eternel Dieu m’a dit « c’est vrai que la Côte d’Ivoire doit passer par ces crises. Mais malheur à celui par qui cette crise arrive ». De 2002 à aujourd’hui, l’Eternel m’a fait beaucoup de révélations sur la Côte d’ivoire. Il m’a convaincu de livrer une infime partie au monde entier. Que tous ceux qui lisent cette prophétie la prennent au sérieux. Elle ne tardera pas à se réaliser. Il se pourrait même que, c’est au moment où vous êtes en train de lire cette prophétie qu’elle se réalise.



VOICI CE QUE DIT L’ETERNEL :



LA CONFUSION TOTAL POUR LE REGIME IVOIRIEN

Le régime ivoirien actuel sera surpris par une grande confusion qui s’emparera de lui. Il sera plongé dans une confusion totale. Le temps est arrivé. Les signes sont évidents. Tous ceux qui ont le discernement les voient. Tous les actes que Ouattara posent aujourd’hui concourent à sa perte. C’est dans le plan de Dieu. C’est dans le plan de délivrance de la Côte d’Ivoire et du grand retour de Laurent Gbagbo. Il y a quelque chose qui se prépare dans le spirituel. Un nuage de confusion va bientôt tomber sur la Côte d’Ivoire. L’Eternel est en train de frapper d’aveuglement Ouattara. L’Eternel est puissant. Il a décrété la fin de la purification de la Côte d’Ivoire. Les manœuvres du diable sont terminées. Le soleil est en train de se lever pour la Côte d’Ivoire. Et la vengeance de Dieu se lève sur les ennemis de la Côte d’Ivoire. Le monde entier verra dans peu de temps la vengeance de Dieu sur la Côte d’Ivoire. Tous ceux qui ont participé aux tribulations contre la Côte d’Ivoire seront châtiés. Tous payeront. Aucun n’échappera à la colère de Dieu. Car Dieu dit : il est vrai que le scandale arrive. Mais malheur à celui par qui le scandale arrive.

Je le dis en vérité, malheur à celui par qui le scandale de la Côte d’Ivoire est arrivé. Malheur à celui par qui le malheur de la Côte d’Ivoire est arrivé. Malheur à la France et ses amis européens qui ont participé aux malheurs de la Côte d’Ivoire. Malheur aux pays africains qui ont convoyé leurs soldats pour combattre Laurent Gbagbo. Je dis bien malheur à tous ceux qui ont même prononcé une phrase contre Laurent Gbagbo et la Côte d’Ivoire depuis 2002. Je vous le dis en vérité, en vérité, chacun payera selon son acte. Malheur à Alassane Ouattara qui a été l’instigateur de ce plan destructeur de la Côte d’Ivoire. Malheur à Alassane Ouattara par qui et pour qui le malheur est arrivé à la Côte d’Ivoire. Ouvrez les yeux et regardez-le dans son égarement. Dieu le confondra à tel point qu’il prendra son égarement pour de la sagesse. Observez bien les actes qu’il pose et vous comprendrez tout.



ALASSANE ET SORO

Une grave crise de confiance opposera bientôt Alassane Ouattara et Soro Guillaume. Cette crise sera le début de la confusion totale du régime. Des soldats prendront partie pour Ouattara et Soro. La communauté internationale profitera de cette situation pour lâcher définitivement le régime de Ouattara. Et ce sera le début d’un grand châtiment pour Ouattara et Soro. Le sang des innocents versés innocemment crient vengeance. Ivoiriens, vos prières ne sont pas restées vaines. Ivoiriens, fléchissez encore les genoux. Bientôt vous serez délivrés. Un grand événement arrive pour libérer totalement la Côte d’Ivoire. Ce ne sera pas l’œuvre des hommes mais celle de Dieu. L’eternel des armées délivre aujourd’hui même la Côte d’Ivoire. Le processus est enclenché.



LA FRANCE

La colère de Dieu est déjà sur la France. La France payera 77x7 fois ce qu’elle a semé en Côte d’Ivoire. L’échec de François Hollande proviendra de ce que la France aura semé depuis 2002 en Côte d’Ivoire. Un spiritiste conseillera Hollande de ne pas s’impliquer dans la politique ivoirienne. Si Hollande veut échapper à l’humiliation, qu’il ait alors une politique franche avec la Côte d’Ivoire, qu’il entre dans la destiné prophétique de la Côte d’Ivoire, qu’il libère la Côte d’Ivoire. Dans le cas contraire, il deviendra le plus nul, le plus vulgaire des chefs d’Etats européens. Je vous le dis, la vengeance de Dieu a commencé. Et la France ne sera pas épargnée. Je le répète, la France perdra son prestige en Europe. Elle connaitra des difficultés énormes puisqu’elle perdra la Côte d’Ivoire avec le retour glorieux de Gbagbo. La Côte d’Ivoire sera libre et prospère. Je le répète, ivoiriens jubilez ! Gbagbo arrive. La déportation Gbagbo fait partie du plan de Dieu. C’est lui qui a été prédestiné pour faire entrer la Côte d’Ivoire dans sa destinée prophétique. Dieu a la main sur lui. Rien ne peut lui arriver parce que Dieu est à ses côtés. Qui savait qu’il sortirait vivant de sa résidence en avril 2011? Dieu est au contrôle. Ivoiriens, patientez ! Dieu est au contrôle.



LE BURKINA FASO, BLAISE COMPAORE ET LES BURKINABE

Je voudrais surtout m’adresser à mon pays et aux Burkinabé : en vérité, en vérité, le temps est proche. Cette prophétie s’accomplira dans peu de temps et surement. Tous les Burkinabé qui ont tiré parti de cette crise de la Côte d’Ivoire payeront. Le Burkina Faso sera dévasté par une grave calamité qui ravagera tout ce qui a été bâti avec l’argent de la guerre contre la Côte d’Ivoire. Le Burkina payera pour avoir servi de base arrière à l’armée qui s’est levée contre la Côte d’Ivoire. Que tous ceux qui ont des oreilles entendent. La parole de Dieu ne ment pas. Cette prophétie se réalisera, certainement. Ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire n’est rien par rapport à ce qui va se passer au Burkina Faso. La colère de Dieu est contre le Burkina à cause de son président et surtout à l’ingratitude de ses fils. Tant qu’ils ne comprendront pas cela et ne se soumettront pas aux ivoiriens, Dieu les placera sous les ivoiriens bientôt. Oui, les burkinabé ont une dette de reconnaissance envers la Côte d’Ivoire. Frères et sœurs, la nation est à l’image de son souverain. La colère de Dieu est sur Blaise Compaoré. Cet homme est à la base de la souffrance de son peuple parce qu’il a semé trop de mauvais grains. Dieu le frappera pour tout ce qu’il a semé dans la sous région. Tout le monde constatera sa triste fin. Une fin fatale. On ne souhaitera jamais une telle fin à un homme. Il n’échappera pas à la colère de Dieu. La parole de Dieu dit que l’on récoltera ce qu’il aura semé. Dieu est-il un homme pour mentir ?



LAURENT GBAGBO

Laurent Gbagbo connaissait la prophétie sur la Côte d’Ivoire. Il s’y est soumis, douloureusement. Christ savait la prophétie sur sa mission dans le monde. Il s’y est soumis jusqu’à la crucifixion sur la croix sans se plaindre. C’est son sacrifice qui sauve le monde aujourd’hui. Il en est de même pour la Côte d’Ivoire. Ivoiriens, espérez ! Ivoiriens, jubilez ! Un grand jour de gloire est annoncé pour votre pays. Que chacun s’inscrive dans cette destiné prophétique. Laurent Gbagbo arrive pour continuer sa mission à la tête de la Côte d’Ivoire.


THABO MBEKI

Dieu rehaussera Thabo Mbeki pour ses actions positives à l’égard de la Côte d’Ivoire. Thabo Mbeki connaitra la gloire dans son pays. Dieu a vu sa détermination aux côtés des ivoiriens. Dieu a vu comment, pour son engagement pour Laurent Gbagbo, il a lui aussi été victime de la machination diabolique de la France. Il a été humilié pour avoir été du côté de la Côte d’Ivoire. Mais Dieu lui promet la gloire. Le monde entier le reverra bientôt redorer son blason politique. Celui qui bénit Israël sera béni mais celui qui maudit Israël sera maudit. La Côte d’Ivoire est un pays béni de Dieu comme Jérusalem. Qui s’élèvera contre Jérusalem en vain sans connaitre le courroux de l’Eternel des armées ?



L’ONU ET BAN KI MOON

L’Onu connaitra la plus grande crise de son histoire. L’Onu n’échappera pas à la colère de Dieu. BAN KI MOON sera confronté à un grave danger lors d’un voyage dans les prochains jours. C’est une question de jour ! Il n’échappera pas à la colère de Dieu pour sa complicité avec les ennemis de la Côte d’Ivoire.

LA CPI

La Cour pénale internationale, connaitra une grande confusion à cause de Laurent Gbagbo. Des juges démissionneront à cause de Laurent Gbagbo. La CPI connaitra une grave crise qui risque de la faire disparaitre. Deux tendances s’affronteront à la CPI à cause de Laurent Gbagbo c’est en ce moment là que le monde entier connaitra la grandeur de Laurent Gbagbo et de la Côte d’Ivoire.


Ivoiriens tenez bon ! Jubilez, Laurent Gbagbo arrive. La Côte d’ivoire sera libérée bientôt. Dieu n’est pas un homme pour mentir. Cette prophétie est certaine et ne tardera pas à s’accomplir. Elle s’accomplira certainement.


REVEREND PASTEUR YAMBA ELIE A OUAGADOUGOU

mardi 10 septembre 2013

Côte d’Ivoire : la victoire finale

J’ai longuement interrogé le Seigneur depuis deux jours et je lui ai demandé pourquoi sa promesse de notre libération prenait autant de temps ?
Et pourquoi, il ne nous  a envoyé aucun signe le 28 Août 2013 comme il me l’avait dit pour apaiser son peuple et qu’il a plutôt transmis le signe  le 30 Août 2013, pour
la libération définitive de Koné KATINAN ? Pourquoi le 30 Août au lieu du 28 Août ?
Et pourquoi, les secousses pour la destruction finale du RHDP ont commencé exactement les 15 et 16 Juillet 2013 avec la rivalité de HKB et KKB ? Comme  j’avais dit qu’il se
passerait quelque chose à ces dates.
Et pourquoi, il a fait lever le soleil sur la Côte d’Ivoire, avec  la libération de la Direction du FPI, exactement le 5 Août 2013 ? Comme j’avais annoncé que le soleil se
lèverait ce jour et que l’ombre libera ses proies.
Je lui ai encore demandé, que faire et que dire face au désarroi du peuple qui souffre le martyr depuis onze ans ?
Voici les réponses du Seigneur :
Si je vous envoie un signe le 22e jour  (comptez à partir du 7 Août), ce signe s’accomplira dans le 7e mois. Mais si je vous envoie un signe le 40e jour (comptez à partir du 7 Août) ce signe s’accomplira dans les quinze jours  en cours.
Je vous explique ce message ésotérique du seigneur.
Le 22e jour à partir du 7 Août était le 28 Août. Et le 40e jour à partir du 7 Août est le 15 Septembre.
Tout signe qui apparait le 22e jour à partir de la date de naissance s’accompli dans le 7e mois. Et pour la Côte d’Ivoire, cela nous aurait conduit en Février 2014. Mais comme, la situation  socio politique de la Côte d’Ivoire va basculer dans  quelques jours dans un grand chaos pour induire le changement, le signe ne pouvait  pas apparaitre le 28 Août, et c’est pour ça
qu’il est apparu le 30 Août 2013. Parce que 30 Août  est le 24e jour à partir du 7 Août. Le 24e jour est un jour neutre spirituellement, donc il n’est pas chargé de beaucoup
d’énergie c’est-à-dire que ses effets mettent fin à une situation contrairement au 22e jour qui, lui, est un degré hautement actif et qui donne vie à une nouvelle situation ou une nouvelle dynamique.
Ensuite, le 40ejour dont parle le seigneur est un degré du zodiaque où apparait  une énergie ou force d’action rapide et intense.  Son temps d’accomplissement ne dure que 15 jours. Sa charge magnétique et vibratoire est beaucoup plus grande.
En spiritualité, les jours sont des degrés du zodiaque et chaque degré du zodiaque  est chargé d’énergie propre à lui-même, pour réaliser quelque chose sur la terre.
En définitif, pour le 40e jour, le Seigneur vient de dire que s’il s’adresse à vous par un signe à partir du 15 Septembre, le basculement interviendra en votre faveur au cours des quinze jours,
c’est-à-dire avant le 30 Septembre 2013.
Parce que  les dates que je vous donne toujours dans mes publications ne sont  en réalité  que des portails du temps, c’est à dire, des passages  ou entrées qui nous permettent d’accéder à d’autres réalités qui  nous donnent le niveau de l’évolution de notre cause auprès de Dieu. Ces portails définissent à la fois des périodes du temps et des limites du temps. La manière
de les comprendre, c’est de les lire sous deux angles ;  soit, le jour mentionné,  soit, pendant les trois jours suivants, parce que le jour exact  indique souvent un
portail du temps ou une entrée dans une période.
Je vous avais déjà dit dans une publication passée que le seigneur m’a révélé que l’affaire Koné KATINAN était le premier signe pour la fin de Ouattara et le signe de notre libération.
Mais je ne cesse de repasser encore dans ma tête, les images de la vision dont je vous ai également parlée concernant la chute de Ouattara dans un gros trou. A cet effet, Quand une main sortie de nulle part a bloqué le coup de poing de Ouattara qui voulait frapper un jeune homme dans la foule, Ouattara a reculé et tout à coup, un gros trou s’est ouvert sous ses pieds et il est
tombé dedans. Maintenant, on peut penser que la relâche définitive de Koné KATINAN par la justice Ghanéenne, est la main qui vient de bloquer définitivement le gros coup de poing de Ouattara. La fin de Ouattara et de ses suiveurs est à une coudée.
Quant à moi, Je reste spirituellement convaincu que ce mois de septembre 2013 est le mois du basculement de la situation et de notre victoire finale.
Fait, le 30 Août 2013.
Daniel  MEHI
Le dernier Prophète

Oregon : le lobby homosexuel s’acharne sur un couple de pâtissiers chrétiens

Oregon (États-Unis). Aaron et Melissa Klein (photo) sont chrétiens. Ensemble, ils tenaient la pâtisserie Sweet Cakes Melissa. Le 17 janvier 2013, une mère et sa fille se sont présentées afin de commander un gâteau pour le « mariage » de cette dernière. En discutant, elles ont été amenées à préciser qu’il s’agissait en fait d’une parodie lesbienne de l’union d’un homme et d’une femme. Aaron a alors expliqué très courtoisement qu’il ne pouvait participer à cette cérémonie contraire à sa foi et à ses valeurs, allant jusqu’à présenter ses excuses.
Les deux femmes ont alors quitté le magasin, avant que la maman revienne, très énervée que tout le monde ne pense pas comme elle et ne se plie pas aux revendications homosexuelles. Toujours courtois, Aaron est resté sur sa position, citant la Bible. Elle a alors quitté la boutique en claquant la porte et une plainte a été déposée pour discrimination. Interrogé par la presse, le couple n’a pas cherché à ruser, expliquant qu’il ne pouvait pas participer à des « mariages » entre personnes du même sexe : « Évidemment, avec mes valeurs chrétiennes, je crois que le mariage ne peut avoir qu’entre un homme et une femme », justifie Aaron, « Dieu l’a ordonné ».
Terrorisme économique. Suite à cette médiatisation, le couple a reçu des centaines de coups de téléphone et de courriels haineux dont certains (montrés à notre confrère TheBlaze.com ou à The Washington Times) les injuriant et les menaçant directement ainsi que leurs cinq enfants heureusement scolarisés à domicile. Leurs fournisseurs ont été harcelés par des activistes LGBT pour qu’ils cessent de faire affaire avec eux, au point que l’avocat du couple n’hésite pas à parler de « terrorisme économique ». Certains fidèles clients sont effrayés par tant de violence et demandent à Aaron et Melissa de ne plus apposer l’étiquette de l’entreprise sur les gâteau afin de ne pas être à leur tour stigmatisés. Aujourd’hui, l’entreprise familiale est en grosse difficulté.
« Dieu nous porte dans ces épreuves », tempère toutefois Melissa. Qui met les points sur les « i » : « Je ferais n’importe quoi pour un homosexuel. Je donnerais ma chemise ». Bref, celle qui a « des amis gays » n’a rien contre les personnes homosexuelles. Mais, pour le gâteau, elle ne regrette rien : « J’ai fait ce que j’ai fait parce que je ne souhaite pas soutenir quelqu’un dans quelque chose qui serait une mauvaise décision. » Melissa explique par exemple qu’elle ne fournirait pas non plus de gâteau pour des cérémonies de divorce ou de gâteau avec un message blasphématoire, contrairement à ce qu’a pu affirmer un média local désireux de les couper de leurs soutiens. Avec les mois, le harcèlement n’a pas cessé et les Klein ont fermé leur boutique au début du mois de septembre. Ils espèrent pouvoir continuer à travailler à domicile.
Foi. Rachel Cryer et Laurel Bowmann, les deux lesbiennes plaignantes, ont quant à elle maintenu leur plainte. La famille Klein pourrait être condamnée à leur verser 50 000 dollars en raison du « dommage émotionnel » causé à ces dernières par le refus de leur fournir un gâteau… C’est un peu partout le même racket. Sans parler des 1 000 dollars d’amendes civiles par infraction, qui empêcherait les Klein de continuer leur métier. En attendant, Aaron et Melissa expliquent que ces épreuves ont fait grandir leur foi chrétienne et nous offre un magnifique exemple de résistance pacifique au lobby homosexualiste.

source: http://www.ndf.fr